mercredi, novembre 8

à son ombre tachée dans l'iris




Elle laisse ses illusions glisser sur les spasmes de vent qui termineront en fracas sur les murs rouillés des villes en lettres rondes.



Les accablantes sont dérisoires.
Seule l'éventualité la fait sourire encore derrière sa tasse de thé lorsque la cuiller s'est réfugiée dans l'exclu de ses lèvres gercées.


Dans un recoin de l'arondissement les chats de gouttière lui ont tout fait comprendre, de l'odeur de l'aurore, à la couverture nocturne de l'opale pendant l'automne.

Elle est digne descendante de ceux qui vous tiennent le genou dans leur paume au détour de l'affectueux articulé alors qu'elle est de porcelaine rousse.
Longtemps elle s'est laissé giffler par la perte désillusoire mais l'éventuel, c'est décidé, la rassure.

Il lui faut admirer pour qu'un sens certain retienne son bout d'existence. Les autres le lui renvoient comme un paradoxe, s'ils savaisent_§...